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The World Is A Beautiful Place

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29 août 2010

Jdr : Des boiteux

Des R*ms, des femmes, des boiteux nom de dieu
Et d'la pendaison, jusqu'à c'qu'ils deviennent bleus !

Des R*ms, des femmes, dans le feu c'est c'qu'y a d'mieux
Que le Diable les emportent, ils rentr'ront chez eux !

(les 3 derniers billets sont à vocation 'humour noir pour chansons de moyen-âge', époque où tous ceux qui étaient différents frôlaient de près un bûcher (pas bien). Aujourd'hui c'est bien mieux, on respecte tout le monde (super) et c'est très bien ainsi. A prendre avec dérision uniquement.)

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29 août 2010

Jdr : Queue Leu Leu

Y'a le feu, Leu Leu, y'a le feu, Leu Leu, y'a le feu, Leu Leu, y'aa, y'aaa, y'aaa, y'aaa....

Le bois éclate, Y'a le feu, Leu Leu
Tout ce qu'on crame, Dans le feu, Leu Leu,
Tout ce qui brille, Dans le feu, Leu Leu,
Surtout des filles, Dans le feu, Leu Leu !

Y'a, y'a, y'a le feu, Leu Leu ! X3
Tout le monde en place, y'a le feu, Leu Leu !

Pour les anniversaires, pour les bals populaires
Pour les nouveaux mariés, pour la nouvelle année
Même dans les nuits sans lune, quand on veut faire la fête
On attrape le plus simplet, hé, et il suffit de le lancer !

Y'a, y'a, y'a le feu, Leu Leu ! X3
Tout le monde en place, y'a le feu, Leu Leu !

29 août 2010

Jdr : Inquisiteurs

REFRAIN : "Inquisiteurs devant, Inquisiteurs derrière, Inquisiteurs devant, ils font de tout petits ronds, ils font le tour de moi-même," + "et me jettent en prison !"
REFRAIN + "et me mettent au bûcher !"
REFRAIN + "et jettent l'allumette !"
REFRAIN + "et je pars en fumée !"
REFRAIN + "et dispersent les cendres !"
REFRAIN + "et je vais en Enfer !"
REFRAIN modifié : "Un diablotin devant, un diablotin derrière, des diablotins partout, ils font de tout petits ronds, ils font le tour de moi-même," + "et me piquent les fesses !"

27 mai 2009

L'Abeille est la bête :/: Bee auty is the beast

J'avais arrêté de marcher. Je ne m'en étais pas rendu compte. Cela vient vite, quand on est distrait par le chemin. Les plantes grandissent, prennent des formes qui font peur, et qui déchirent ce jardin en laboratoire des monstruosités. La montagne personnelle, qui grandit chaque jour pour se rapprocher de ton soleil, elle aussi, a arrêté de grandir. Dommage qu'il n'y ait pas davantage de soupe pour montagne. Et en m'arrêtant de marcher, j'ai arrêté de grandir aussi. Et le chemin tout entier a voulu rebrousser tout ce qui avait été parcouru. J'avais arrêté de marcher, et j'avais perdu rapidement le compte aussi. D'où venaient ces pas, et où allaient-ils ? Tout cela, je le savais sur le bout des... Et puis on s'aperçoit qu'un jour on oublie de finir ses... Et puis, ça devient un réflexe, oublier de plus en... Jusqu'au mo...

Y'avait eu un boulet dans ma vie. C'est pas grave, dit-on, mais on s'y attache, et c'est là la lourdeur du problème, qui traîne, comme son nom l'indique. Qui traîne, mais pas en longueur. Qui traîne en pesanteur.

J'avais pourtant été si près du sommet de cette première colline personnelle. Et bien sûr, ce n'était que le contrefort rocheux d'une plus haute montagne qui m'attend, ma vie.

Alors j'ai fait comme l'abeille que je voyais : j'ai secoué mes petites ailes, et j'ai pris la suite de mon envol, les pattes encore collées de nectar sirupeux, et parce-que, c'est pas tout ça, j'ai encore un tas de miel à faire, et c'est pas une fleur isolée qui me retiendra plus longtemps. Et quelque chose me dit que le rucher ne sera pas éternel, pas question de perdre une seule seconde de cette unique journée (oui bon, c'est pas un éphémère, mais une abeille, Et alors ?).

Le miel, ce qui est bien, c'est que c'est énergisant, et pour l'être, il faut vivre intensément AVANT, pour produire ce nectar d'énergie et l'offrir à d'autres (en général un boulet en costume d'apiculteur que t'as pris en pitié et qui traînait badaud dans ton champ).

Alors la marche reprend, avec un but : faire du miel de sa vie, donc profiter d'une vie bien sucrée, et beaucoup travailler sur soi. Bzz.

19 mars 2009

En guise de paraphe :/: As a sign

C'était pas censé être ça, le présent. Pas censé devoir se conformer. Pas pensé à ça. Ca avait un goût et une promesse d'avance, le présent que j'aimais. Plutôt que des cendres, un goût de soleil dans la bouche. La combustion des âmes, le feu des amants. C'était censé être mieux, le présent. Supposé prendre de l'avance. Estimé distancer les gens. Avoir une longueur de raison en plus. C'était pas censé être si miteux. Cet aspect vieux. Cette puanteur irrésistible. Le renfermé. Comme un couvercle sur la vie. Et pas une cocotte minute. Même pas une cocotte heure. Une marmite oubliée. Pas de fête à laquelle on la sort une nouvelle fois. Bien rangée sur son étagère, les portes fermées par-dessus. Oubliée. Evadée de la mémoire. Fugitive idée. Fugace existence. C'était vraiment pas censé être ménager, le présent. Ca devait prendre aux tripes. Aller de l'avant, par-dessus les gens, sauter les rambardes, ruer dans les brancards. Avoir un soupçon de feu, une pointe de flamme. Feu-bouillant en-dedans. C'était pas censé faire du sur-place, maintenant. Ca avait l'air mieux, de l'autre côté de la pendule. Les aiguilles fichées dans les bras, bras dessus, bras dessous, le temps en expédient. Les secondes sur le devant de la scène. Les minutes perdues, puis rapportées. En pagaille. Un instantané d'espace-temps. Une infusion de moments. Un déca de retards. Des miettes de tout ça, maintenant. Des bribes, éparses. Des souvenirs comme des bébés nuages. Légèrement vaporeux. C'était pas censé se planter.

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12 mars 2009

La Guerre des Pôles :/: Poles in Conflict

L'étendue allait du Sud au Nord. Au front, l'Etoile commençait à luire. L'aube s'éteignait. Tendues comme deux nerfs parcourus d'impulsions électriques contraires, les armées ondulaient par les humeurs et les sourds grommellements. La taille du camp de base nordique équivalait à cinq lieues nautiques de long, de diverses tentes et de régiments épars. En face, les bataillons sudiques peinaient à soutenir la comparaison. Des lances, des balistes, quelques généraux rassemblant tant bien que mal les miettes essaimées d'une coalition perdue d'avance. Perdue, condamnée.. à moins que. Hormis ce tout petit détail. Hammon était avec eux. Un petit détail de près d'une tonne. Un renégat, certes, mais un traître solide sur pattes. La bave aux lèvres, tout le temps. L'oeil serein, l'humeur certaine. La rage au coeur. Le coeur au bord des lèvres. Les lèvres qui soufflent un baiser mortel. Votre nom se lit sur elles. Michakal tremblait au fond de lui d'une telle carte dans le jeu ennemi. Les préparatifs avaient beau aller bon train, les ceintures vérifiées, les propulseurs alignés, les vagues déferlantes à venir vues et revues par les stratèges, un doute lui serrait la gorge.

Les 500 conjurés s'alignèrent. La troupe sudique au complet. Le soleil dans leur dos. En face d'eux, une masse compacte mais pensée, à la manière d'un mécanisme aux rouages tous militaires et entraînés. Les bataillons nordiques en nombre. 6.000 loyalistes. Michakal observait depuis la colline latérale. Une vue imprenable. Imprenable, un mot qu'il allait regretter souvent avoir pensé en ce jour. Qu'il allait regretter des années durant à venir.

Au premier choc, il ne comprit pas vraiment si un coup venait d'être lancé depuis son propre camp, ou si une onde s'était détachée de la troupe sudique. Quand au bas mot, 1.000 à 1.200 de ses soldats s'étalèrent comme de simples poupées de chiffons, anéantis, il comprit ce que cela voulait dire. Sombrex aetulae. Il murmura : Defensis Cistera al Gulco.

La boule bleutée s'élanca à une allure douce, puis nonchalante, enfin s'immobilisa. Radiance. Poignards bleutés.
Une quinzaine de sudiques s'évanouirent en morceaux sanglants.

C'est tout, eut le temps de songer Michakal.

Roulement de haches doubles, l'ours blanc casqué avanca. Les siens s'écartèrent, la machine en muscle était une assez suffisante menace en soi, pour les siens comme pour ses ennemis, et nul n'aurait osé ralentir la bête en marche.

Blanc, des rayures sanglantes (aucune de son sang) sur le pelage hirsute, l'armure cintrée lui écrasant la couche de graisse polaire, les muscles saillants et le regard calme, la bouche inondée de sa bave habituelle, Hammon était à présent en première ligne.

Le porte drapeau était à ses arrières.

Du côté des troupes de Michakal, une rapide réorganisation idéologique. Quitte à mourir sous les griffes de Hammon, autant revendiquer ce pour quoi tout ce peuple divisé s'était rassemblé.

Le porte drapeau nordique rejoignit au plus vite la première ligne également.
Michakal observait toujours de loin, à 2 km de là. Son oeil perçant ne cillait pas, même si son coeur était serré.

Le clash des peuples commença.
Aussi saisissant qu'une vision nationaliste et meurtrière, le tableau ne manquait pas de grandeur.
Des troupes préparées et anonymes soutenant le drapeau rouge et blanc au cercle intérieur divisé, emblème du Groenland, face à la poignée de berserks solides et furieux rassemblée derrière l'ours blanc géant en armure, le renégat Hammon, prêts au feu et au sang en l'honneur d'un étendard bleu et blanc, la terre des sans nations de l'Antarctique, marque blanche découpée sur un infini bleu.

Le choc des Pôles, dans la bave et la rage.
L'aimantation des colères, la division réunie en un même lieu, prête à exploser.
Le Rouge contre le Bleu, au travers la plaine Blanche. Couleurs primaires pour intérêts seconds. Les prétextes tombèrent. Hammon contre Michakal. Tout simplement.

[en construction]

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3 février 2009

Winter spleen

Perdu, perdition, perissement, deperir , pourrir, etre laisse de cote comme un vulgaire tas de merde. Tout juste bon a etre marche dessus dans un moment d egarement et eparpille au quatre vents dans un confusion des plus merdiques. Le passé te retiens, le futur te fais peur, le present passe sans que tu ne réalises, quel avenir sur terre, quelle envie assouvir.La colère monte en moi comme d un volcan sur le point d'exploser. Tout le monde en patis, les montagnes aussi. Ces montagnes qui semblaient infranchissables, dures, solides et inébranlables mais qui sont aussi frêles que des feuilles mortes soulevées par une légère brise qui souffle sur les arbres nonchalants de la solitude. La rage, la colère, l'impuissance me paralysent, le sentiment d'abandon, de souffrance,d'auto mutilation viennent secouer, torturer ces méninges qui ne demandaient rien qu'à rester au calme tout la haut se baignant dans son liquide aseptisé le rendant sourd jusque la aux perpetuels bourdonnements des plaintes emanant ca et la des entrailles de cette bête féroce, vengeresse, phénoménale. Fureurs et cris , brouhaha et autre tintamarre rythme ce capharnaum présent dans la region occipitale engendrant la folie et la destruction. Rien ne laissait présager cela et d'ailleurs plus rien ne reste de ce phénomène si ce n'est ce petit lambeau de chair qui représentait autrefois ce souffle de vie contagieux par lequel on l'avait tant de fois remarqué, ce sourire indélébile qui, si il changeait de forme ,pouvait embrasser cette attitude qu il aurait tant voulu adopter, celle qui aurait pu lui offrir les faveurs d'une demoiselle dans ces moments de félicité.

28 janvier 2009

Il/Elle m'a charmé(e) au début, et puis...

Il est drôle,                                        ...puis il devient lourd.
Il est attentionné,                              ...puis il me colle.
Il est tendre,                                     ...mais pas fanstasmatique.
Il est charmant,                                 ...voire dragueur.
Il est disponible,                                ...puis il ne fout rien de sa journée.
Il est gentil,                                      ...mais n'a aucun caractère.
Il est souriant,                                  ...limite idiot parfois.
Il a le sens du partage,                      ...mais tout le monde profite de nous.
Il est franc,                                      ...trop. aucun tact.
Il est patient,                                   ...puis il est mou et peu dynamique.

Il a de la prestance,                          ...mais est trop narcissique.
Il s'engage avec moi,                        ...mais il n'a plus la passion du début.
Il a un de ces regards..                     ...mais je suis jalouse quand il regarde les autres.
Il a une grande ouverture d'esprit,     ...mais il n'aurait jamais dû me parler de relation à 3.
Il a des yeux uniques,                       ...dommage qu'il devienne presbyte.
Il est intelligent,                               ...mais je me sens toujours sotte à côté de lui.
Il est compréhensif,                          ...puis il ne donne jamais son opinion.
Il est toujours optimiste,                   ...puis il ne sait jamais être sérieux quand il faut.
Il a une belle voix grave,                   ...puis il parle dans sa barbe.
Il est très assuré,                              ...d'ailleurs il ne m'écoute jamais.

Il se montre courageux,                     ...puis inconscient.
Il a de belles fesses,                          ...mais elles s'amollissent.
Il est à mon écoute,                          ...mais ne se confie jamais.
Il est convaincu par ses idées,           ...carrément borné en fait.
Il est bon orateur,                             ...voire beau parleur
Il est habile de ses mains,                 ...mais toujours à me tripoter.
Il me rappelle tellement MrX,             ...il me rappelle beaucoup trop MrX.
Il se montre simple,                          ...mais à force il n'a aucune ambition.
Il est toujours poli,                           ...ça confine à la lâcheté.
Il a de belles mains,                         ...jamais abimées par la vaisselle ni le ménage.
Il est d'une grande force,                  ...puis il devient violent.
Il a un pénis agréable,                     ...mais il ne pense qu'avec ça.
Il est indépendant,                          ...puis il reste égoïste.

22 novembre 2008

Pour une presse humanime :/: In favor of a humanimous press

Presse féminine, presse masculine.. pourquoi cette distinction après tout ?

"ni féminin ni masculin juste humain"

4 novembre 2008

Ta chair devient curieuse, violette rose et crue :/: Your flesh's becoming weird, violet rose-pink and raw

Ceci est un début. La phrase à ne pas lire. Du moins, jusqu'à présent. Peut-être cela change ; je suis versatile. Du moins, je l'étais. Un paragraphe après l'autre, vous allez découvrir qui je maudis. Je sens presque vos mains sur ma reliure de cuir. Piquetée. Dévorée par les insectes qui habitent ces lieux. Je suis vieux. Le temps passe si vite. Qui que vous soyez, vous avez trouvé. Prenez votre respiration, battez de votre coeur, fouettez votre sang, autant que j'en ai versé par ces anciennes années. Regardez la couleur de ma pierre. Sertie au centre de la couverture. Dans son écrin de cuivre, remarquez ses reflets. Maintenant que vous savez. Prenez ma page suivante.
[...]
Vous revoilà. Sachez que dans les phrases suivantes, une seule vous donnera le nombre de pages à passer pour lire la suite. Cette phrase contiendra le nom de ma pierre. La reine passée vola le roi, qu'elle trompa 26 fois, et perdit amant, richesses et vie. Le roi masochiste contempla chacun des 7 jours qui suivirent, les traces de sang de sa belle sur le parvis du palais. Sa fille renouvella sa supplique : laisser le corps de sa défunte mère reposer en paix, dans le tombeau qui accueille la famille depuis 13 générations. Au lieu de ça, en 9 endroits du palais, étaient exposés les morceaux de l'altesse mise en pièces, exhibition morbide, maigres naturistes profanés et éparpillés. Momifiés. La métisse terrifiée qui servait le roi, à genoux, lui murmurait l'avancée des préparateurs : plus que 5 jours avant que tout soit embaumé. Le jour final arriva, soleil blafard, lumière crue, ubiquité de ce sentiment triste : partout dans le palais, ses 4 ailes, le malaise. L'ombre de l'être tant aimée rôdait et planait sur les âmes, malgré les 8 prêtres préparateurs qui assemblaient la reine désarticulée. Le roi avait à nouveau sa reine, sa peine muée en folie. Belle, et éternellement fidèle.
[...][...][...][...][...]
Tu as trouvé. Maintenant, moi Grimoire de Folie, je vais te révéler, ô grand jour et Voyageur imprudent, ce pour quoi tu as réveillé Montagne et Fureur, Labyrinthe et Monstre.
Le secret de ton terrible périple, est celui-ci :
Les cliquetis que tu entends à présent récompensent l'évolution de l'espèce humaine, vont privilégier la plus grande intelligence future de tous, grâce à tes efforts, tu as su te montrer digne d'être le maillon vivant de cette constante amélioration de tous. Tu cries. Ces pointes et lames qui déchirent ta chair sont notre récompense à nous, à tous. Cette pièce hérissée qui se referme sur toi, pointant ton indélicate erreur, écrase avec envergure les gènes qui déméritent génération après génération. Verte est ma précieuse, violette tu l'as crue. Ta chair devient curieuse, violette rose et crue. Ces crocs d'acier perforent ta peau, les grondements chantent dans ce mécanisme, en un hymne à ton daltonisme.

[Le vent tourne encore 3 pages de ce livre...un corps gît, incapable de lire ce qui suit, car vidé de son sang:]

Tu as trouvé. Tes yeux, sans l'ombre d'un doute verts, ne t'ont pas dupé. Apprends à présent à leur accorder ta confiance en toute occasion. Ils sont ton sang. Ils sont ton héritage. Car maintenant, moi Grimoire de Folie, je vais te révéler, ô grand jour et Voyageur imprudent, ce pour quoi tu as réveillé Montagne et Fureur, Labyrinthe et Monstre.
Le secret de ton terrible périple, est celui-ci :
Emeraude était le nom de notre défunte reine. La première des pierres sur Terre à avoir eu le Feu Sacré dans son sein. Allaités au sang divin, ses descendants servirent une seule cause : protéger la lignée d'Ezmaelia, la fille de notre reine, et punir les enfants des autres lits du roi maudit. Ce secret enfoui dans la Montagne est à présent le tien, descendant digne des gènes premiers. Sache une chose : ces fils et filles du roi maudit ont en commun la confusion et la folie. La distinction des couleurs leur est interdite, d'une manière qui varie pour chacun d'eux. Prends-moi avec toi. Tu apprendras à poursuivre cette chasse en-dehors de ce lieu. Tu es le Premier. Celui qu'on appellera : le Chasseur de Sang.

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